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Les ateliers
Depuis sa création, la Compagnie des gens d’ici propose des ateliers de sensibilisation et de pratique théâtrales en direction des plus jeunes au travers d’ateliers hebdomadaires et d’ateliers dans les écoles du primaire jusqu’aux lycées professionnels.
Les ateliers scolaires et parascolaires
Nos ateliers Théâtre se déroulent dans les écoles du primaire aux lycées professionnels. Ils peuvent prendre différentes formes dans leur contenu, leur durée et leur organisation. Les projets sont conçus sur mesure en fonction de la classe, de l’établissement, des élèves et de l’enseignant. Ils peuvent être en lien avec un des spectacles de la Compagnie ou totalement indépendant de tout objet artistique préexistant. Les axes de travail sont choisis avec les enseignants et peuvent associer plusieurs disciplines du spectacle vivant (Théâtre, Ecriture, Musique, Chant, Vidéo, Scénographie…)
La Compagnie des gens d’ici est référencée depuis 2010 par l’Inspection Académique d’Annecy (Education Nationale) comme intervenant Théâtre. Elle intervient aussi pour toute action vers les plus jeunes dans toute structure culturelle, éducative, d’accompagnement et de prévention.
Les ateliers hebdomadaires pour enfants et adolescents
La Compagnie des gens d’ici intervient en direction des plus jeunes à travers des ateliers hebdomadaires pour les enfants de 6 à 10 ans, pour les adolescents de 11 à 15 ans et avec la P’tite Cie pour les 14 à 18 ans.
Dans le cadre de ces ateliers, les participants sont invités à vivre de vrais moments de formation et de création. Ces ateliers se déroulent depuis plusieurs années sur la Commune de Viry et accueillent de nouveaux venus chaque année d’octobre à juin.
Pour toute information et/ou inscription, contactez-nous via notre formulaire, nous vous répondrons dans les meilleurs délais.
« Naître du matériau, se nourrir des inscriptions, des tracés instinctifs… des ouvrages exécutés par des personnes indemnes de culture artistique, dans lesquels le mimétisme, contrairement à ce qui se passe chez les intellectuels, ait peu ou pas de part, de sorte que leurs auteurs y tirent tout (sujets, choix des matériaux mis en œuvre, moyens de transposition, rythme, façons d’écritures, etc.) de leur propre fonds et non des poncifs de l’art classique ou de l’art à la mode… L’Art ne vient pas se coucher dans les lits qu’on a faits pour lui ; il se sauve aussitôt qu’on prononce son nom. Ce qu’il aime c’est l’incognito, ses meilleurs moments sont quand il oublie comment il s’appelle. »
Jean Dubuffet